Mastodon Mastodon Mastodon Mastodon Mastodon

Mot-clé : « Fénelon »

Fil des textes

Le Livre, tome II, p. 120-136

Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 120.
Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 120 [136]. Source : Internet Archive.

Religion et morale

Philosophie politique et morale
Histoire naturelle, etc.

[II.136.120]
  1.  Mably est à présent bien oublié et dépassé.  ↩
  2.  Dans sa lettre Du moyen de dresser une bibliothèque… (Œuvres, t. X, p. 116), La Mothe-Le Vayer dit que Pline l’Ancien est, à lui seul, « une bibliothèque entière » ; et Le Gallois, dans son Traité des plus belles bibliothèques de l’Europe (p. 2), confirme cet éloge par ce distique :
    •  Quid juvat innumeris repleri scrinia libris ?
      Unus præ cunclis Plinius esse potest.  ↩

Le Livre, tome II, p. 011-027

Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 011.
Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 011 [027]. Source : Internet Archive.

De Gœthe (1749-1832)[011.1] : « S’occuper des idées sur l’immortalité [de l’âme], cela convient… aux femmes qui n’ont rien à faire. Mais un homme d’un esprit solide, qui pense à être déjà ici-bas quelque chose de sérieux, et qui, par conséquent, a chaque jour à travailler, à lutter, à agir, cet homme laisse tranquille le monde futur, et s’occupe à être actif et utile dans celui-ci. »

Et cette autre belle profession de foi du critique Charles Labitte (1816-1845)[011.2] : « II y a un mot de Bossuet ou de Fénelon[011.3] qui dit : « L’homme s’agite

[II.027.011]
  1.  Conversations recueillies par Eckermann, trad. Délerot, t. I, pp. 103-104.  ↩
  2.  Ap. Sainte-Beuve, Portraits littéraires, t. III, p. 388.  ↩
  3.  Le mot est de Fénelon et non de Bossuet. « L’homme s’agite, mais Dieu le mène. » (Fénelon, Sermon pour la fête de l’Épiphanie, Œuvres choisies, t. IV, p. 23 ; Paris, Hachette, 1862.)  ↩

Le Livre, tome I, p. 291-315

Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 291.
Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 291 [315]. Source : Internet Archive.

Le Livre, tome I, p. 156-180

Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 156.
Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 156 [180]. Source : Internet Archive.

et quelle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l’ouvrage, il est bon, et fait de main d’ouvrier[156.1] ».

Fénelon (1651-1715), si épris de l’antiquité et si nourri de la lecture des anciens, fait dire à Télémaque : « Pour mieux supporter l’ennui de la captivité et de la solitude, je cherchai des livres…. Heureux, disais-je, ceux qui… se divertissent en s’instruisant, et qui se plaisent à cultiver leur esprit par les sciences ! En quelque endroit que la fortune ennemie les jette, ils portent toujours avec eux de quoi s’entretenir ; et l’ennui, qui dévore les autres hommes, au milieu même des délices, est inconnu à ceux qui savent s’occuper par quelque lecture. Heureux ceux qui aiment à lire, et qui ne sont point, comme moi, privés de la lecture[156.2] ! »

[I.180.156]
  1.  La Bruyère, op. cit., Des ouvrages de l’esprit, p. 19.  ↩
  2.  Télémaque, livre II, p. 28. (Paris, Dezobry, s. d.)  ↩