Mot-clé : « Corneille (P.) »

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Le Livre, tome II, p. 122-138

Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 122.
Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 122 [138]. Source : Internet Archive.
Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 123.
Pour suite de texte et de note : Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 123 [139]. Source : Internet Archive.

Poètes dramatiques

Poètes lyriques, bucoliques, didactiques, etc.

[II.138.122]
  1.  Crébillon pourrait être supprimé sans inconvénient.  ↩
  2.  On pourrait encore supprimer sans crainte, dans cette bibliothèque « de choix », Clotilde de Surville, Mme Des Houlières, Gresset, Delille, Thompson (plus généralement Thomson), et même J.-B. Rousseau, tous aujourd’hui bien déchus de leur ancienne gloire.  ↩

Le Livre, tome I, p. 288-312

Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 288.
Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 288 [312]. Source : Internet Archive.
Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 289.
Pour suite de texte : Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 289 [313]. Source : Internet Archive.

Le Livre, tome I, p. 237-261

Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 237.
Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 237 [261]. Source : Internet Archive.
Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 238.
Pour suite de note : Albert Cim, Le Livre, t. I, p. 238 [262]. Source : Internet Archive.

cialement « pratiqué Tacite », et l’on a vendu, il y a quelque douze ans, un exemplaire du Discours sur Tacite, de l’historien italien Malvezzi (1599-1654), traduit en anglais par sir Richard Baker (1568-1645), exemplaire chargé de notes en latin et en anglais attribuées à Milton[237.1].

Turenne (1611-1675) avait, dans sa jeunesse, une grande admiration pour Quinte-Curce.

Desmarets de Saint-Sorlin (1595-1676) ne voyait rien de plus beau sur terre que son poème de Clovis, et il en était si enchanté qu’il en renvoyait la gloire à Dieu : « Oui, dit-il dans ses Délices de l’esprit, Dieu m’a sensiblement assisté, puisqu’il m’a permis de finir un aussi beau livre ». On prétend qu’un plaisant, lorsque Desmarets lui envoya son volume des Délices de l’esprit, mit à l’errata : Délices, lisez Délires.

Pierre Corneille (1616-1684) faisait ses lectures favorites de Tacite, de Tite-Live, et surtout de Lucain et de Sénèque (le Tragique ?)[237.2].

Pétrone, que Juste Lipse appelle auctor purissimæ impuritatis, était l’admiration du grand Condé (1621-1686), et cette admiration était telle « qu’il pensionnait un lecteur, uniquement chargé de lui réciter le Satyricon[237.3] ».

[I.261.237]
  1.  Revue bleue, 18 février 1893, p. 224.  ↩
  2.  Peignot, op. cit., t. I, pp. 128-129.  ↩
  3.  J.-N.-M. de Guerle, Recherches sur le Satyricon. Œuvres complètes de Pétrone, trad. Panckoucke, p. xxvii. (Paris, Garnier, 1876.)  ↩