Le Livre, tome II, p. 185-201

Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 185.
Albert Cim, Le Livre, t. II, p. 185 [201]. Source : Internet Archive.

le Médecin malgré lui ou la Comtesse d’Escarbagnas. S’il nous faut un franc amuseur, qui ne nous induise point en tentation de philosopher, prenons Regnard, Le Retour imprévu, les Ménechmes, le Distrait, me font toujours rire aux éclats. C’est comme cela que, dans mon fauteuil, je vais au spectacle.

« Est-ce là un hiver bien employé, bien rempli, qu’en dites-vous ? Y a-t-il eu place une minute pour le désœuvrement, pour l’ennui ? Non, certes. Mes livres m’ont, j’espère, tenu bonne compa­gnie[185.1]…. »

Il est bien entendu qu’un tel calendrier n’a rien d’absolu, qu’il ne peut être que « très arbitraire »[185.2], — l’auteur nous en prévient tout le premier : il n’a voulu nous donner « que de simples indi­cations »[185.3], — et que c’est à chacun de nous, à chaque ami des livres et des Lettres, à répartir lui-même ses lectures selon les saisons et selon ses goûts.

[II.201.185]
  1.  Op. cit., p. 38.  ↩
  2.  Op. cit., p. 32.  ↩
  3.  Op. cit., p. 43.  ↩

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